Voila maintenant plus d’une semaine que le Syndicat UNSA dénonce nos méthodes et nous méprise à travers leurs tracts. Nous savons pertinemment que les agents n’aiment pas ce genre de comportement .
MAIS TROP C’EST TROP !!!
Nous aurions pu nous aussi rentrer dans la polémique.
Dénoncer les méthodes employées par certaine OS (organisation syndicale) sur la constitution de leurs listes de candidatures pour les élections pro.
Dénoncer le mépris envers nos formes d’actions, « chacun ses méthodes ». Eux ayant privilégié l’accompagnement comme la signature de l’accord sur le paiement des heures supplémentaires n’en est que la confirmation et c’est vous qui subissez et subirez les conséquences.
Dénoncer le mensonge qui est porté par la secrétaire de l’UNSA à l’encontre de notre secrétaire et cela afin de discréditer notre mouvement et ternir notre image.
Nous vous confirmons le dépôt de plainte et une demande de protection rapprochée faite par Madame ASPRA, accordée par la Diretion.
Les collégues qui se font agresser quotidiennement apprécieront !!!
Les menaces juridiques incessantes de la Direction à notre encontre et comme si tout cela n’été pas suffisant , l’annulation des élections pro dans notre établissement voit pointer le bout de son nez. Effectivement l’UNSA considérant notre campement comme un outil de propagande syndicale.
La loi interdisant toute communication pendant le scrutin ,nous avons donc décidé à contre cœur de lever notre « Piquet de La Colére et de La Résistance ». Nous ne pouvons faire courrir le risque que la Démocratie ne puisse s’exprimer.
Il faut que chaque agent puisse faire le choix par qui et comment il veut être représenté.
Notre Belle Aventure Humaine de 3 semaines, nous a montré que la solidarité et la générosité n’était pas un vain mot. Nous savons aujourd’hui que nous ne sommes pas seuls et que c’est ensemble que nous allons nous battre pour défendre notre établissement , l’offre de soins et nos emplois.
Vous venez de nous démontrer et ce comme en 2013 (nous avions obtenu 500 000 euros pour une vague de titularisation) que nous sommes capable de nous unir.
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